Mitten wir im Leben sind/Bach6Cellosuiten

Anne Teresa De Keersmaeker, Jean-Guihen Queyras/Rosas

Les Suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach constituent un jalon de l’histoire de la musique occidentale : la puissance intellectuelle et structurelle de cette œuvre n’a pas fini de nous fasciner, au travers de sa vitalité rythmique et de la fluidité de ses lignes mélodiques. Anne Teresa De Keersmaeker, qui a déjà démontré plus d’une fois son affinité particulière avec le monde de Bach, approfondit sa quête d’une écriture chorégraphique qui puisse capturer l’essence même du langage du compositeur. Le violoncelliste de renommée internationale Jean-Guihen Queyras, trois danseurs et deux danseuses (dont De Keersmaeker elle-même) donnent vie à la partition de Bach. Celle-ci est convoquée dans toutes ses dimensions et tour à tour éclairée, défiée ou mise en perspective par la chorégraphie. Cette fascinante étreinte entre musique et danse fait étinceler le caractère individuel des six Suites, autant que la cohésion de leur projet d’ensemble.

Chorégraphie
Anne Teresa De Keersmaeker

Violoncelle
Jean-Guihen Queyras

Créé avec et dansé par
Boštjan Antončič, Anne Teresa De Keersmaeker, Marie Goudot, Julien Monty, Michaël Pomero

Musique
Johann Sebastian Bach
6 Cello Suites, BWV 1007 to 1012

Costumes
An D’Huys

Robe Anne Teresa De Keersmaeker
Anke Loh

Dramaturgie
Jan Vandenhouwe

Son
Alban Moraud

Lumières
Luc Schaltin

Production
Rosas

Coproduction
De Munt / La Monnaie(Bruxelles), Ruhrtriennale, Concertgebouw Brugge, Philharmonie de Paris – Théâtre de la Ville – Paris – Festival d’Automne à Paris, Sadler’s Wells (London), Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Opéra de Lille, Ludwigsburger Schlossfestspiele, Elbphilharmonie (Hamburg), Montpellier Danse 2018

Première Mondiale
26 août 2017, Ruhrtriennale


Mitten wir im Leben sind/Bach6Cellosuiten a été réalisé avec le soutien du Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge, en collaboration avec Casa Kafka Pictures Tax Shelter empowered by Belfius.

  • Teaser #1
  • Jean-Guihen Queyras interviewed by the Philharmonie de Luxembourg